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 [Admin] Flavie di Gàio [Neutre]

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Flavie
Admin
Flavie


Messages : 44
Date d'inscription : 14/05/2009

Feuille de Personnage
Relations:
Occupation/Activité: Comtesse Perchioni

[Admin] Flavie di Gàio [Neutre] Empty
MessageSujet: [Admin] Flavie di Gàio [Neutre]   [Admin] Flavie di Gàio [Neutre] EmptyJeu 2 Juil - 9:44


    Votre Personnage



    Nom di Gàio
    Prénom Flavie
    Statut Noble
    Clan Neutre
    Age 20


    Description physique :


    Moyennement grande, environ un mètre soixante-cinq, Flavie porte souvent de longues robes couleur ciel, d'un bleu plus profond, ou vert pâle selon son humeur. Mince sans être maigre, elle a des formes bien féminines héritées de son côté maternel.
    La Comtesse a de longs cheveux, châtain clair, souvent retenus en une longue natte. Son visage est plutôt ovale, avec des pommettes bien dessinées et bien rondes, qui accentuent ses fossettes lorsqu'elle sourit. Flavie a hérité du visage avenant de sa mère ainsi que de son sourire lumineux. Ce qu'elle fait souvent ! D'un naturel confiant et optimiste, il ne se passe pas un jour sans que ses lèvres fines ne s'étirent en un sourire. Au dessus de son petit nez, ses yeux noisette sont également presque toujours rieurs et pétillent de malice lorsqu'elle est suffisamment en confiance pour se laisser aller à être pleinement elle-même. Sa voix douce, plutôt mezzo reproduit parfois les mêmes intonations et accentuations que sa mère, qui venait de France. Lorsque Flavie retourne dans le royaume voisin, il lui arrive d'ailleurs de revenir avec l'accent si particulier du français.
    Sur sa main gauche, une fine cicatrice rosée, presque disparue à présent, marque ses doigts de l'auriculaire au majeur. Flavie n'a pas de souvenir de ce qui lui a causé cette entaille, mais sait seulement qu'elle était très jeune, pas plus de trois ans. Sa mère ne voulut jamais lui en dire plus ; de même pour les serviteurs qu'elle a interrogés pendant son adolescence.
    Sportive (pour l'époque) elle monte tous les jours le cheval que lui a offert son père il y a maintenant trois ans. Se promenant seule ou avec des amies, elle préfère par dessus tout galoper dans les plaines et la forêt. Lors de sa dernière balade, alors qu'elle finissait d'abreuver Fuoco, sa monture, elle croisa la route d'un jeune homme. Cette rencontre la troubla, et gênée, elle ne put rester face à lui. Profitant de ce que la cloche de l'église sonnait, elle enfourcha Fuoco et le talonna pour revenir à Vérone, les joues en feu, et ne parla à personne de cette rencontre.
    En privé, Flavie fait preuve de beaucoup de maîtrise d'elle-même et il lui suffit de lever un sourcil pour que la désobéissance prenne fin, notamment avec les serviteurs. Mais ceux-ci comprennent très vite qu'il est de leur intérêt de faire ce qu'on leur demande...
    En société, Flavie se fait discrète, n'appréciant pas beaucoup les grandes réunions, mais sait toutefois se montrer bavarde et n'hésite pas à discuter avec ses invités lorsqu'elle reçoit, sachant parfaitement les mettre à l'aise. Ne serait-ce que par son sourire...



    Histoire

    -Pardonnez-moi mon père, car j'ai péché...
    -Je vous écoute mon enfant.

    Flavie détestait se confesser. Elle détestait réciter ces phrases que sa mère lui avait fait apprendre par cœur. Elle préférait de loin aller dans la forêt, se promener à cheval, et, si elle devait s'adresser à Dieu, elle préférait le faire à la bougie de sa chambre, à la nuit tombée, seule avec la nuit et l'immensité du ciel et du mystère.
    Pourtant, elle devait avoir quelque chose à raconter, à confesser. Flavie le faisait en mémoire de sa mère. La Comtesse Aleth avait toujours été très impliquée dans tout ce qui touchait à la religion. Une fois par mois, Flavie allait à confesse, et s'arrangeait pour avoir une amnésie passagère. Elle n'avait vraiment pas besoin qu'on lui dise ce qu'elle devait et ne devait pas faire. Elle avait assez de son frère pour ça.
    -Mon enfant?
    -...
    -Mon enfant?
    -Mmm? Oh, pardon j'étais perdue dans mes pensées.
    - [soupir]... Bon, je t'écoute. Qu'as-tu fait?
    -Et bien... Je ne suis pas venue me confesser depuis près de trois semaines maintenant.
    -En effet. Aurais-tu commis quelque chose de grave?
    -Ne pas se confesser n'est pas déjà grave?
    -Certes, certes, mais...

    Le prêtre n'ayant pas perçu l'ironie dans la voix de Flavie, elle retourna assez vite à la Villa di Gàio. Sur le chemin, avec l'escorte qui l'accompagnait, la jeune femme se souvenait de ce qui l'avait amenée à Vérone. Sa famille y résidait depuis quatre ou cinq générations, mais, entre ses sept et quinze ans, la jeune sœur du Comte Anselme avait vécu chez leurs cousins à Rome. Ensuite, retournée dans sa ville natale, elle avait retrouvé sa famille. Flavie avait retrouvé ses amies d'enfance, Elenor, Juliette et Rosaline. Mais à l'inverse de l'héritière Capulet et de sa cousine, la nièce du Prince et Flavie avaient plus ou moins gardé la neutralité de leurs parents.
    Ses parents...
    Un pincement vint serrer le cœur de la jeune femme. En voyage pour visiter leurs propriétés à l'ouest, non loin de Sirmione, les corps du Comte et de la Comtesse avaient été retrouvés. Flavie talonna son cheval, ne voulant pas laisser la tristesse l'envahir. Le souvenir de la mort violente et si soudaine de ses parents lui faisait mal, encore après un peu plus d'un an.

    Retournée chez elle, elle prit finalement le chemin de la forêt, son escorte la suivant quelques pas derrière. Arrivée à la clairière, « sa » clairière, descendant dans la zone dégagée, Flavie passa la main sur la pierre ronde et plate, sorte de table naturelle qui faisait face à la petite cascade. Elle tenait son cheval par la bride et se souvenait de tout, avançant à pas lents dans l'herbe. L'eau ruisselait et rendait la zone plus fraîche qu'elle ne l'était déjà avec l'ombre que procurait les arbres.
    La jeune Comtesse leva la tête. Le soleil réussissait à se faufiler, tout comme l'autre jour. Le jour où...
    ...où elle avait failli se laisser aller. En baissant la tête, elle revit l'endroit où l'inconnu s'était assis avant de s'approcher d'elle. En fermant les yeux, elle revoyait même la scène. Elle tenait Fuoco par la bride, comme souvent et l'avait approché du ruisseau pour qu'il boive. Un jeune homme était sorti de la forêt, se levant de derrière le buisson et avait fixé la jeune femme. Les deux jeunes gens s'étaient approchés de quelques pas l'un vers l'autre, et, distant de moins de cinq mètres, se fixaient toujours, comme si aucun ne voulait détourner les yeux. Flavie avait soutenu le regard, sans faillir, jusqu'à ce que le clocher de la Chapelle lui rappelle l'heure. Elle avait sauté sur sa monture, adressé un dernier coup d'œil à l'inconnu et était partie quand l'autre ouvrait la bouche pour lui parler. Qu'aurait-il dit? Qu'aurait-il pu dire?... Elle ne le savait pas. Elle ne savait rien de lui, si ce n'était qu'il avait pris son cœur.
    Elle savait aussi qu'il était certainement de la famille Montaigu et qu'elle ne pourrait jamais avouer cette rencontre à quiconque.




    Personnalité


    S’il y a bien une chose que cette jeune femme déteste, c’est qu’on lui dicte sa conduite. Elle n’aime pas être obligée de dire la raison de ses actions, d’expliquer pourquoi marcher dans l’herbe pieds nus lui donne une sensation de liberté, pourquoi elle préfère les glaces à la vanille, pourquoi le son de la pluie la réconforte, pourquoi elle protège d’abord sa sœur avant de penser à elle.
    Et comme elle met du temps à se confier, ou à répondre, il arrive qu'on la croit prétentieuse, et distante, et inaccessible. C’est une manière pour elle de se protéger, que d’apprendre à connaître avant de se découvrir ; de sorte qu’elle préfère la compagnie de personnes avec qui elle a grandi, qu’elle connait bien, que des personnes mondaines qui peuplent les soirées importantes et les bals. Surtout que certains gentilshommes croient lui faire plaisir en s'approchant d'elle lorsqu'elle s'est éloignée. Ils voient en cette distance une sorte de message codé, le déjà très connu « je te fuis tu me suis » quand le message qu'elle lance n'est simplement qu'un « laissez-moi tranquille ». Elle sait se montrer ferme et autoritaire, et sait se faire obéir au doigt et à l'œil par ses serviteurs. Si un bal est organisé chez elle, chez les di Gàio, (le bal est demandé par Anselme ou Luna, l'un pour trouver un parti et un mari pour ses sœurs, l'autre pour s'amuser, tout simplement), elle se montrera une hôtesse accueillante et chaleureuse, attentive à ce que chacun soit satfisfait.
    Toutefois, peu à l'aise quand il y a du monde, Flavie se retire dans des coins moins fréquentés ou carrément isolés, où elle se sent en harmonie avec la nature. La nature et elle se ressemblent : sauvage, secrète, mais belle, attachante et captivante.



    HJ ( Hors Jeu )


    Prénom/surnom : Morgane/Aliénor/Calim...

    Age 18 !

    Pays: France

    Personnalité de l'avatar : Julia Stiles
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[Admin] Flavie di Gàio [Neutre]
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